Le permis B, ou le permis de conduire de voiture et de camionnette, est une autorisation qui permet aux conducteurs d’utiliser un véhicule à moteur dont le poids total autorisé en charge (PTAC) ne dépasse pas 3 500 kg. Dans certains pays, ce type de permis permet également au titulaire de conduire des véhicules légers tels que les minibus. Dans cet article, nous allons examiner s’il est possible pour un titulaire d’un permis B de conduire un minibus.
Règlementation
La législation concernant les minibus est différente selon le pays. Par exemple, au Royaume-Uni, seul un conducteur titulaire d’un permis D peut conduire un minibus sur la voie publique.
Un permis D donne également la possibilité de conduire des bus et des semi-remorques. Seuls les Titulaires du Permis C1 ont le droit de conduire des véhicules dont le poids total autorisé est compris entre 3 500 et 7 500 kg ; ce type de permis permet également au titulaire d’utiliser des remorques jusqu’à 750 kg.
En revanche, en France par exemple, il est possible pour une personne titulaire d’un permis B (auto-moto) de conduire un minibus à 16 places et dont la masse totale maximale autorisée est inférieure à 3 500 kg sans être obligée de passer le permis D.
Il faut toutefois prendre en compte que si le PTAC du véhicule excède 2 000 kg ou si celui-ci comporte plus de 8 places assises y compris celle du conducteur alors il faut disposer du Permis D pour pouvoir circuler sur la voie publique.
Exigences supplémentaires
En principe pour obtenir le droit légal de piloter un minibus en circulation sur une route relativement peut changer par rapport aux exigences demandés initialement aux candidats souhaitant avoir la mention « auto » ajoutée à son certificat (permis B).
Quelques exceptions existent cependant : certaines sociétés proposent directement ce service sans obligation additionnelle mais elles ne fournissent généralement pas une assurance adéquat pour le transport public occasionnel ; ils doivent alors réaliser quelques formations approfondies et formalisations supplémentaires afin que les connaissances pratiques soient adaptés aux obligations spécifiques liées avec ce genre d’engins.
Autres mesures
Il va sans dire que quiconque souhaite transporter des personnes devra payer une taxe annuelle en plus du prix initial anticipable du carburant.
De plus il sera limité par l’âge requis et l’expansion confinant habituellement aux minces surfaces gérables via GPS qui devront servir comme point d’arrivée pratique. Des consignes supplétives sont envisageable.
Enfin, La formation continue et l’estimation des procurations, ou encore la mise en place automatisée sont très fortement recommandés afin de garantir toute expédition fluide et sûr.